Arrivée et inscription au lancement de l`année pastorale 2009 (Québec)
La journée commença par une animation vidéo suivie d'un temps de partage en petites équipes puis de la concélébration en fin d'avant-midi. Le repas du midi fut l'occasion de retrouvailles et de rencontres bien appréciées dans un climat de fraternité et d'ouverture.
L'après-midi, après un bref moment de prière, commença par l'intervention tant attendue de notre archevêque. Celui-ci expliqua que celle-ci faisait suite au travail des trois comités mis sur pied l'an dernier; l'un sur le contenu, l'autre sur les structures et le dernier sur les stragégies de communication. Il se dit très heureux du résultat qu'il avait partagé déjà avec les personnes employées dans les bureaux des Services diocésains.
Son intervention intitulée "Une vision pour l'Église catholique de Québec" s'est déroulée autour de deux points qui sont résumés par cette phrase qu'il a commentée : "Construire un nous écclésial qui interpelle le nous social". La construction du "nous ecclésial" requiert une écoute des blessures et des aspirations de nos contemporains, a expliqué le cardinal. Il est de première importance aussi d'ëtre greffés au Christ dans l'Eucharistie pour laisser passer cet Autre plus grand que nous. La vie fraternelle et communautaire demande à être cultivée dans une authenticité fondée sur le Ressuscité présent, mais discret, qui sollicite notre amour d'alliance inclusif à tous les égard. Enfin, la manifestation enthousiaste de notre foi devient une tâche emballante en se recentrant sur notre raison d'être : le Christ qui nous invite à accueilir les événements dans un esprit de foi et à contribuer à répondre à notre façon à l'effritement social qui se se manifeste par l'isolement, la solitude, les souffrances de toutes sortes, les familles brisées et éclatées, la violence etc.
Le "nous ecclésial" dynamique permettra d'interpeller le "nous social", a continué notre archevêque. Il s'agit, en premier lieu, de vivre la mission d'évangélisation comme aux origines des premières communautés chértiennes; en second lieu, d'élaborer des stragégies missionnaires et pastorales pour la nouvelle évangélisation; en troisième lieu, de relancer l'appel aux ministères ordonnés, aux vocations consacrées et d'encourager l'engagement de personnes mandatées, et, enfin, en quatrième lieu, de dvelopper des réseaux, établir des partenariats et confier plus de responsabilités aux laïcs, aux bénévoles.
Ce programme stimulant a besoin de mains et de bras, il doit être aidé et soutenu par la participation de toutes les personnes motivées et engagées. C'est pourquoi, au terme de son intervention, le cardinal Ouellet a dévoilé le nouvel organigramme du diocèse qui met au centre la mission diocésaine alimentée par les paroisses et les régions, les mouvements et la vie consacrée. Cet organigramme est inclusif et intégratif. Il n'est pas linéaire comme le montre l'image jointe. Madame Marie Chrétien, responsable du Service de la pastorale, a commenté les attributions des divers secteurs faisant partie du service.
L'après-midi, après un bref moment de prière, commença par l'intervention tant attendue de notre archevêque. Celui-ci expliqua que celle-ci faisait suite au travail des trois comités mis sur pied l'an dernier; l'un sur le contenu, l'autre sur les structures et le dernier sur les stragégies de communication. Il se dit très heureux du résultat qu'il avait partagé déjà avec les personnes employées dans les bureaux des Services diocésains.
Son intervention intitulée "Une vision pour l'Église catholique de Québec" s'est déroulée autour de deux points qui sont résumés par cette phrase qu'il a commentée : "Construire un nous écclésial qui interpelle le nous social". La construction du "nous ecclésial" requiert une écoute des blessures et des aspirations de nos contemporains, a expliqué le cardinal. Il est de première importance aussi d'ëtre greffés au Christ dans l'Eucharistie pour laisser passer cet Autre plus grand que nous. La vie fraternelle et communautaire demande à être cultivée dans une authenticité fondée sur le Ressuscité présent, mais discret, qui sollicite notre amour d'alliance inclusif à tous les égard. Enfin, la manifestation enthousiaste de notre foi devient une tâche emballante en se recentrant sur notre raison d'être : le Christ qui nous invite à accueilir les événements dans un esprit de foi et à contribuer à répondre à notre façon à l'effritement social qui se se manifeste par l'isolement, la solitude, les souffrances de toutes sortes, les familles brisées et éclatées, la violence etc.
Le "nous ecclésial" dynamique permettra d'interpeller le "nous social", a continué notre archevêque. Il s'agit, en premier lieu, de vivre la mission d'évangélisation comme aux origines des premières communautés chértiennes; en second lieu, d'élaborer des stragégies missionnaires et pastorales pour la nouvelle évangélisation; en troisième lieu, de relancer l'appel aux ministères ordonnés, aux vocations consacrées et d'encourager l'engagement de personnes mandatées, et, enfin, en quatrième lieu, de dvelopper des réseaux, établir des partenariats et confier plus de responsabilités aux laïcs, aux bénévoles.
Ce programme stimulant a besoin de mains et de bras, il doit être aidé et soutenu par la participation de toutes les personnes motivées et engagées. C'est pourquoi, au terme de son intervention, le cardinal Ouellet a dévoilé le nouvel organigramme du diocèse qui met au centre la mission diocésaine alimentée par les paroisses et les régions, les mouvements et la vie consacrée. Cet organigramme est inclusif et intégratif. Il n'est pas linéaire comme le montre l'image jointe. Madame Marie Chrétien, responsable du Service de la pastorale, a commenté les attributions des divers secteurs faisant partie du service.
Les organismes diocésains et les régions pastorales ont comme mission désormais de servir les initiatives des personnes impliquées à quelque niveau que ce soit et de les aider à contribuer à la vitalité de ce "nous ecclésial" qui est l'Église catholique de Québec, cette portion du Peuple de Dieu appelée à témoigner ici de l'amour de notre Dieu qui vient vers nous et désire que toute personne entende sa voix...jusqu'aux extrémités de la terre.
À la suite de ces moments denses et chargés d'espérance, les trois évêques auxiliaires ont pris la parole chacun à leur tour. Mgr Gilles Lemay, le doyen, responsable des régions pastorales Rive-Nord, responsable du comité des nominations et répondant des dossiers du diaconat permanent, du mariage et de la famille nous a partagé son enthousiasme au retour du Paraguay où il a oeuvré plus de dix ans comme missionnaire. Le sercret de notre action pastorale réside dans les gens sur le terrain, dit-il. Il se propose de demeurer à l'écoute et présent le plus possible dans ses régions pastorales.
Mgr Paul Lortie, nouvel évêque auxiliaire, déjà vicaire épiscopal des régions pastorales Appalaches (Rive-Sud) continue d'en être le responsable et il ajoute à cette tâche celle de répondant du patrimoine religieux. Dans son allocution, il témoigne avec conviction de l'importance de la prière dans tous ces changements et ces initiatives au plan pastoral. Pour lui, ce qui fait foi de tout c'est l'être de celui ou de celle qui oeuvre au service de l'Église et non pas les structutres comme telles. Son plaidoyer soulève une émotion palpable et arrive bien à propos.
Mgr Gérald.C. Lacroix, nouvel auxiliaire lui aussi, le plus jeune du groupe, aura la responsabilité de l'évangélisation et de la catéchèse et sera répondant de la vie consacrée, des mouvements, de la jeunesse et des vocations. Vous pouvez¨être assuré, dit-il aux personnes présentes, que l'évangélisation j'y crois de tout mon coeur. Impliqué dans la fondation de l'École St-André à Québec avant d'être évêque, directeur d'un institut séculier tourné vers la nouvelle évangélisation, son message sonne juste et obtient la faveur de l'assemblée qui s'engage à le suivre sur ce terrain avec toute la persévérance et l'élan nécessaires.
Monsieur le cardinal Ouellet, notre archevêque, s'est réservé de façon particulière la responsabilité de la formation sacerdotale, de l'oecuménisme, des rapports avec les communautés culturelles et du dialogue religieux sans laisser de côté la sollicitude pastorale pour tous les versants de la pastorale diocésaine dont il est le premier responsable comme évêque et pasteur de cette Église particulère qu'est le diocèse de Québec, le premier et le plus ancien au Canada et aux États-Unis (1674).
Quelle admirable journée tournée vers les années à venir! Oui, l'assemblée vivait des moments qu'elle sentait importants. Ce lancement pastoral 2009 est un autre pas en avant dans la suite du Synode diocésain (1995), du Congrès sur les communautés chrétiennes (2004) et du Congrès eucharistique international (2008).
Les résultats de cette semence viendront en leur temps, car, comme le dit saint Paul : "J'ai semé, Appollos a arrosé...mais c'est le Seigneur qui donne la croissance." C'est dans une confiance innébranlable que toutes les personnes participantes se sont quittées sûres et convaincues que le Seigneur est toujours à l'oeuvre "pour la vie du monde."
Mgr Paul Lortie, nouvel évêque auxiliaire, déjà vicaire épiscopal des régions pastorales Appalaches (Rive-Sud) continue d'en être le responsable et il ajoute à cette tâche celle de répondant du patrimoine religieux. Dans son allocution, il témoigne avec conviction de l'importance de la prière dans tous ces changements et ces initiatives au plan pastoral. Pour lui, ce qui fait foi de tout c'est l'être de celui ou de celle qui oeuvre au service de l'Église et non pas les structutres comme telles. Son plaidoyer soulève une émotion palpable et arrive bien à propos.
Mgr Gérald.C. Lacroix, nouvel auxiliaire lui aussi, le plus jeune du groupe, aura la responsabilité de l'évangélisation et de la catéchèse et sera répondant de la vie consacrée, des mouvements, de la jeunesse et des vocations. Vous pouvez¨être assuré, dit-il aux personnes présentes, que l'évangélisation j'y crois de tout mon coeur. Impliqué dans la fondation de l'École St-André à Québec avant d'être évêque, directeur d'un institut séculier tourné vers la nouvelle évangélisation, son message sonne juste et obtient la faveur de l'assemblée qui s'engage à le suivre sur ce terrain avec toute la persévérance et l'élan nécessaires.
Monsieur le cardinal Ouellet, notre archevêque, s'est réservé de façon particulière la responsabilité de la formation sacerdotale, de l'oecuménisme, des rapports avec les communautés culturelles et du dialogue religieux sans laisser de côté la sollicitude pastorale pour tous les versants de la pastorale diocésaine dont il est le premier responsable comme évêque et pasteur de cette Église particulère qu'est le diocèse de Québec, le premier et le plus ancien au Canada et aux États-Unis (1674).
Quelle admirable journée tournée vers les années à venir! Oui, l'assemblée vivait des moments qu'elle sentait importants. Ce lancement pastoral 2009 est un autre pas en avant dans la suite du Synode diocésain (1995), du Congrès sur les communautés chrétiennes (2004) et du Congrès eucharistique international (2008).
Les résultats de cette semence viendront en leur temps, car, comme le dit saint Paul : "J'ai semé, Appollos a arrosé...mais c'est le Seigneur qui donne la croissance." C'est dans une confiance innébranlable que toutes les personnes participantes se sont quittées sûres et convaincues que le Seigneur est toujours à l'oeuvre "pour la vie du monde."
Visionnez le reportage de ECDQ.tv (4 minutes) en cliquant sur l'image.