Publicité pour le jardinage "Les mauvaises herbes doivent être tenues éloignées de votre pelouse. Si vous ne retirez pas les mauvaises herbes, elles vont envahir votre pelouse jusqu’à la transformer en jardin de mauvaises herbes. "
Il s’agit bien de mauvaises herbes dans l’image de l’ivraie dont parle le texte de l’évangile qui vient d’être lu. L’ivraie représente ce qui nuit, ce qui est nocif, le mal, en somme, dans le monde ou encore en chacun de soi. Le bon grain c’est ce qui est bon, c’est le bien.
Et l’attitude du propriétaire qui représente Dieu n’a pas beaucoup de sens, entre nous. Ce qui est normal, c’est de s’occuper d’enlever les mauvaises herbes. Et pourtant le propriétaire dit dans le texte de l’évangile : « Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ». Pourquoi une telle attitude de la part du propriétaire qui représente Dieu ?
I – L’attitude du propriétaire, de Dieu
Comment qualifier l’attitude du propriétaire, de Dieu ? En un mot, je dirais que Dieu est « humain » et qu’il veut que nous le soyons. Dieu a bon cœur, il est compréhensif, il n’écrase pas.
Voyez-vous, les mauvaises herbes et le bon grain ici sont une image qui nous représente. On n’a du mauvais, mais aussi de bons côtés. On n’est pas des choses, des objets qu’on manipule. On est des personnes avec des sentiments, de la bonne volonté, des faiblesses aussi. On n’agit pas avec les personnes sans les respecter, sans prendre le temps de leur donner une chance. C’est pourquoi, Dieu qui agit « humainement » pourrait-on dire avec nous veut donner une chance à chacun, donner tout le temps qu’il faut. Il est patient. « La patience, a dit un poète, est la profondeur de l’amour ». Comme c’est vrai avec Dieu. C’est encourageant.
II – Comment Dieu exerce-t-il sa patience ?
Comment Dieu fait-il ? Son secret c’est de regarder non seulement le mal, le mauvais, mais aussi le bon qu’il y a dans les personnes, dans le monde, en nous aussi. C’est comme cela que Dieu agit, et comme cela qu’il veut que nous agissions nous aussi ?
Avez-vous remarqué que cette façon de faire attire plus qu’une attitude négative ? C’est saint François de Sales qui disait « on attrape plus de mouches avec une cuillerée de miel qu’avec une tasse de vinaigre ». Faire sortir le bon chez son mari, chez son épouse, ses enfants etc. Voir le positif d’abord et pas toujours le négatif.
Pourquoi Dieu agit ainsi ?
C’est la pointe de cette parabole, le message essentiel qui est le suivant : on est toujours en croissance spirituelle. Le Royaume de Dieu se développe au fil des ans. « La Parole de Dieu porte du fruit dans la patience » écrivait à des missionnaires saint François de Laval (1623-1708), premier évêque de Québec et apôtre de l'Amérique. Il faut compter avec le temps quand on grandit, quand on se développe. Regarder vos enfants. Quelle patience ils vous ont demandé parfois.
II – Application concrète
Ici il y a cependant deux dangers dont il faut prendre conscience, deux écueils à éviter.
Le premier est celui de vouloir aller trop vite. Dieu nous dit ici de prendre le temps qu’il faut. Il y a un dicton qui le résume bien : « Tirer sur une fleur ne la fait pas pousser plus vite ». Dieu fait confiance aux capacités de grandir en dedans de nous. Il fait confiance à l’Esprit dont parle saint Paul dans la deuxième lecture, l’Esprit qui agit en nous. Dieu fait preuve de réalisme, fait preuve de tolérance. Ainsi nous aussi.
Le second danger est à l’opposé, c’est celui de se renfermer. « Tout est pourri. Y a rien à faire. Moi je m’en fous. C’est mon destin. Y pas de moyen de changer ». On se renferme dans un cocon. Alors que Dieu ici nous dit : « Tout n’est pas parfait dans le monde, il a bien des ambigüités, dans l’Église aussi, dans notre vie, mais ne soyez pas défaitistesou fatalistess. À travers l’ivraie, le bon grain va pousser quand même avec le temps. Faites votre possible et laisser le reste entre mes mains. Encore ici une belle phrase de saint François de Laval l’exprime bien : « Nous n'avons qu'à lui être fidèles et le laisser faire ».
Conclusion
Cet enseignement est très encourageant aujourd’hui. Ce n’est pas la facilité qui est prêchée. Il faut se retrousser les manches, faire sortir le bon, mais en même temps, il faut accepter que çà prend du temps parfois et aussi que tout n’est pas parfait.
Faisons ensemble cette prière inspirée de l’abbé Jules Beaulac :
Esprit Saint,
Toi qui es l’agent de croissance par excellence,
Viens en nous.
Enseigne-nous à ne pas voir seulement le mal qu’il y a dans le monde, mais à découvrir le bien qui y pousse bellement.
Préserve-nous du découragement qui nous démobiliserait et nous déprimerait.
Garde-nous dans la confiance et l’espérance, convaincus que le bien pousse même au milieu du mal et sûrs que Tu nous soutiens et nous éclaires sur tous nos chemins!
Mgr Hermann Giguère P.H.
Faculté de théologie et de sciences religieuses
de l’Université Laval
Séminaire de Québec
23 juillet 2023
LECTURES DE LA MESSE
PREMIÈRE LECTURE
« Après la faute tu accordes la conversion » (Sg 12, 13.16-19)
Lecture du livre de la Sagesse
Il n’y a pas d’autre dieu que toi,
qui prenne soin de toute chose :
tu montres ainsi que tes jugements ne sont pas injustes.
Ta force est à l’origine de ta justice,
et ta domination sur toute chose
te permet d’épargner toute chose.
Tu montres ta force
si l’on ne croit pas à la plénitude de ta puissance,
et ceux qui la bravent sciemment, tu les réprimes.
Mais toi qui disposes de la force,
tu juges avec indulgence,
tu nous gouvernes avec beaucoup de ménagement,
car tu n’as qu’à vouloir pour exercer ta puissance.
Par ton exemple tu as enseigné à ton peuple
que le juste doit être humain ;
à tes fils tu as donné une belle espérance :
après la faute tu accordes la conversion.
– Parole du Seigneur.
PSAUME
(Ps 85 (86), 5-6, 9ab.10, 15-16ab)
R/ Toi qui es bon et qui pardonnes,
écoute ma prière, Seigneur. (cf. Ps 85, 5a.6a)
Toi qui es bon et qui pardonnes,
plein d’amour pour tous ceux qui t’appellent,
écoute ma prière, Seigneur,
entends ma voix qui te supplie.
Toutes les nations, que tu as faites,
viendront se prosterner devant toi,
car tu es grand et tu fais des merveilles,
toi, Dieu, le seul.
Toi, Seigneur, Dieu de tendresse et de pitié,
lent à la colère, plein d’amour et de vérité !
Regarde vers moi,
prends pitié de moi.
DEUXIÈME LECTURE
« L’Esprit lui-même intercède par des gémissements inexprimables » (Rm 8, 26-27)
Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains
Frères,
l’Esprit Saint vient au secours de notre faiblesse,
car nous ne savons pas prier comme il faut.
L’Esprit lui-même intercède pour nous
par des gémissements inexprimables.
Et Dieu, qui scrute les cœurs,
connaît les intentions de l’Esprit
puisque c’est selon Dieu
que l’Esprit intercède pour les fidèles.
– Parole du Seigneur.
ÉVANGILE
« Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson » (Mt 13, 24-43)
Alléluia. Alléluia.
Tu es béni, Père,
Seigneur du ciel et de la terre,
tu as révélé aux tout-petits
les mystères du Royaume !
Alléluia. (cf. Mt 11, 25)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus proposa cette parabole à la foule :
« Le royaume des Cieux est comparable
à un homme qui a semé du bon grain dans son champ.
Or, pendant que les gens dormaient,
son ennemi survint ;
il sema de l’ivraie au milieu du blé
et s’en alla.
Quand la tige poussa et produisit l’épi,
alors l’ivraie apparut aussi.
Les serviteurs du maître vinrent lui dire :
‘Seigneur, n’est-ce pas du bon grain
que tu as semé dans ton champ ?
D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?’
Il leur dit :
‘C’est un ennemi qui a fait cela.’
Les serviteurs lui disent :
‘Veux-tu donc que nous allions l’enlever ?’
Il répond :
‘Non, en enlevant l’ivraie,
vous risquez d’arracher le blé en même temps.
Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ;
et, au temps de la moisson,
je dirai aux moissonneurs :
Enlevez d’abord l’ivraie,
liez-la en bottes pour la brûler ;
quant au blé, ramassez-le
pour le rentrer dans mon grenier.’ »
Il leur proposa une autre parabole :
« Le royaume des Cieux est comparable
à une graine de moutarde qu’un homme a prise
et qu’il a semée dans son champ.
C’est la plus petite de toutes les semences,
mais, quand elle a poussé,
elle dépasse les autres plantes potagères
et devient un arbre,
si bien que les oiseaux du ciel viennent
et font leurs nids dans ses branches. »
Il leur dit une autre parabole :
« Le royaume des Cieux est comparable
au levain qu’une femme a pris
et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine,
jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. »
Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles,
et il ne leur disait rien sans parabole,
accomplissant ainsi la parole du prophète :
J’ouvrirai la bouche pour des paraboles,
je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde.
Alors, laissant les foules, il vint à la maison.
Ses disciples s’approchèrent et lui dirent :
« Explique-nous clairement
la parabole de l’ivraie dans le champ. »
Il leur répondit :
« Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
le champ, c’est le monde ;
le bon grain, ce sont les fils du Royaume ;
l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ;
la moisson, c’est la fin du monde ;
les moissonneurs, ce sont les anges.
De même que l’on enlève l’ivraie
pour la jeter au feu,
ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
Le Fils de l’homme enverra ses anges,
et ils enlèveront de son Royaume
toutes les causes de chute
et ceux qui font le mal ;
ils les jetteront dans la fournaise :
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Alors les justes resplendiront comme le soleil
dans le royaume de leur Père.
Celui qui a des oreilles,
qu’il entende ! »
– Acclamons la Parole de Dieu.
OU LECTURE BREVE
ÉVANGILE
« Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson » (Mt 13, 24-30)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus proposa cette parabole à la foule :
« Le royaume des Cieux est comparable
à un homme qui a semé du bon grain dans son champ.
Or, pendant que les gens dormaient,
son ennemi survint ;
il sema de l’ivraie au milieu du blé
et s’en alla.
Quand la tige poussa et produisit l’épi,
alors l’ivraie apparut aussi.
Les serviteurs du maître vinrent lui dire :
‘Seigneur, n’est-ce pas du bon grain
que tu as semé dans ton champ ?
D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?’
Il leur dit :
‘C’est un ennemi qui a fait cela.’
Les serviteurs lui disent :
‘Veux-tu donc que nous allions l’enlever ?’
Il répond :
‘Non, en enlevant l’ivraie,
vous risquez d’arracher le blé en même temps.
Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ;
et, au temps de la moisson,
je dirai aux moissonneurs :
Enlevez d’abord l’ivraie,
liez-la en bottes pour la brûler ;
quant au blé, ramassez-le
pour le rentrer dans mon grenier.’ »
– Acclamons la Parole de Dieu.
PREMIÈRE LECTURE
« Après la faute tu accordes la conversion » (Sg 12, 13.16-19)
Lecture du livre de la Sagesse
Il n’y a pas d’autre dieu que toi,
qui prenne soin de toute chose :
tu montres ainsi que tes jugements ne sont pas injustes.
Ta force est à l’origine de ta justice,
et ta domination sur toute chose
te permet d’épargner toute chose.
Tu montres ta force
si l’on ne croit pas à la plénitude de ta puissance,
et ceux qui la bravent sciemment, tu les réprimes.
Mais toi qui disposes de la force,
tu juges avec indulgence,
tu nous gouvernes avec beaucoup de ménagement,
car tu n’as qu’à vouloir pour exercer ta puissance.
Par ton exemple tu as enseigné à ton peuple
que le juste doit être humain ;
à tes fils tu as donné une belle espérance :
après la faute tu accordes la conversion.
– Parole du Seigneur.
PSAUME
(Ps 85 (86), 5-6, 9ab.10, 15-16ab)
R/ Toi qui es bon et qui pardonnes,
écoute ma prière, Seigneur. (cf. Ps 85, 5a.6a)
Toi qui es bon et qui pardonnes,
plein d’amour pour tous ceux qui t’appellent,
écoute ma prière, Seigneur,
entends ma voix qui te supplie.
Toutes les nations, que tu as faites,
viendront se prosterner devant toi,
car tu es grand et tu fais des merveilles,
toi, Dieu, le seul.
Toi, Seigneur, Dieu de tendresse et de pitié,
lent à la colère, plein d’amour et de vérité !
Regarde vers moi,
prends pitié de moi.
DEUXIÈME LECTURE
« L’Esprit lui-même intercède par des gémissements inexprimables » (Rm 8, 26-27)
Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains
Frères,
l’Esprit Saint vient au secours de notre faiblesse,
car nous ne savons pas prier comme il faut.
L’Esprit lui-même intercède pour nous
par des gémissements inexprimables.
Et Dieu, qui scrute les cœurs,
connaît les intentions de l’Esprit
puisque c’est selon Dieu
que l’Esprit intercède pour les fidèles.
– Parole du Seigneur.
ÉVANGILE
« Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson » (Mt 13, 24-43)
Alléluia. Alléluia.
Tu es béni, Père,
Seigneur du ciel et de la terre,
tu as révélé aux tout-petits
les mystères du Royaume !
Alléluia. (cf. Mt 11, 25)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus proposa cette parabole à la foule :
« Le royaume des Cieux est comparable
à un homme qui a semé du bon grain dans son champ.
Or, pendant que les gens dormaient,
son ennemi survint ;
il sema de l’ivraie au milieu du blé
et s’en alla.
Quand la tige poussa et produisit l’épi,
alors l’ivraie apparut aussi.
Les serviteurs du maître vinrent lui dire :
‘Seigneur, n’est-ce pas du bon grain
que tu as semé dans ton champ ?
D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?’
Il leur dit :
‘C’est un ennemi qui a fait cela.’
Les serviteurs lui disent :
‘Veux-tu donc que nous allions l’enlever ?’
Il répond :
‘Non, en enlevant l’ivraie,
vous risquez d’arracher le blé en même temps.
Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ;
et, au temps de la moisson,
je dirai aux moissonneurs :
Enlevez d’abord l’ivraie,
liez-la en bottes pour la brûler ;
quant au blé, ramassez-le
pour le rentrer dans mon grenier.’ »
Il leur proposa une autre parabole :
« Le royaume des Cieux est comparable
à une graine de moutarde qu’un homme a prise
et qu’il a semée dans son champ.
C’est la plus petite de toutes les semences,
mais, quand elle a poussé,
elle dépasse les autres plantes potagères
et devient un arbre,
si bien que les oiseaux du ciel viennent
et font leurs nids dans ses branches. »
Il leur dit une autre parabole :
« Le royaume des Cieux est comparable
au levain qu’une femme a pris
et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine,
jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. »
Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles,
et il ne leur disait rien sans parabole,
accomplissant ainsi la parole du prophète :
J’ouvrirai la bouche pour des paraboles,
je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde.
Alors, laissant les foules, il vint à la maison.
Ses disciples s’approchèrent et lui dirent :
« Explique-nous clairement
la parabole de l’ivraie dans le champ. »
Il leur répondit :
« Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
le champ, c’est le monde ;
le bon grain, ce sont les fils du Royaume ;
l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ;
la moisson, c’est la fin du monde ;
les moissonneurs, ce sont les anges.
De même que l’on enlève l’ivraie
pour la jeter au feu,
ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
Le Fils de l’homme enverra ses anges,
et ils enlèveront de son Royaume
toutes les causes de chute
et ceux qui font le mal ;
ils les jetteront dans la fournaise :
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Alors les justes resplendiront comme le soleil
dans le royaume de leur Père.
Celui qui a des oreilles,
qu’il entende ! »
– Acclamons la Parole de Dieu.
OU LECTURE BREVE
ÉVANGILE
« Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson » (Mt 13, 24-30)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus proposa cette parabole à la foule :
« Le royaume des Cieux est comparable
à un homme qui a semé du bon grain dans son champ.
Or, pendant que les gens dormaient,
son ennemi survint ;
il sema de l’ivraie au milieu du blé
et s’en alla.
Quand la tige poussa et produisit l’épi,
alors l’ivraie apparut aussi.
Les serviteurs du maître vinrent lui dire :
‘Seigneur, n’est-ce pas du bon grain
que tu as semé dans ton champ ?
D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?’
Il leur dit :
‘C’est un ennemi qui a fait cela.’
Les serviteurs lui disent :
‘Veux-tu donc que nous allions l’enlever ?’
Il répond :
‘Non, en enlevant l’ivraie,
vous risquez d’arracher le blé en même temps.
Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson ;
et, au temps de la moisson,
je dirai aux moissonneurs :
Enlevez d’abord l’ivraie,
liez-la en bottes pour la brûler ;
quant au blé, ramassez-le
pour le rentrer dans mon grenier.’ »
– Acclamons la Parole de Dieu.