Les séminaristes du Grand Séminaire `Redemptoris Mater` avec leur Recteur et le Supérieur général du Séminaire de Québec
À 9 heures, le groupe s'est retrouvé au pied du Grand Escalier du Pavillon Jean-Olivier-Briand du Séminaire de Québec. Le Supérieur général du Séminaire, Mgr Hermann Giguère, les a accueillis et leur a fait visiter les voûtes du Vieux Séminaire, la cuisine du temps de François de Laval et le réfectoire des prêtres puis, ensuite, la chapelle de Mgr Briand et la chapelle de la Congrégation.
Le groupe a poursuivi son pèlerinage en se dirigeant chez les Ursulines du Vieux Monastère. Après un moment de prière au tombeau de Marie de l'Incarnation dont c'était la fête le 30 avril, soeur Gabrielle Noël, directrice du Centre Marie de l'Incarnation, leur a fait faire le tour du monastère.
Les séminaristes sont revenus au Séminaire où le Supérieur général les a reçus pour le repas du midi. L'équipe d'animation du Grand Séminaire de Québec est venue les saluer et les inviter à une rencontre avec les séminaristes du Grand Séminaire de Québec au cours de l'automne prochain. Avant de quitter, le groupe s'est retrouvé pour la célébration de l'Office du milieu du jour et un temps d'échange sur ce pèlerinage au sources de la foi en Nouvelle-France.
Le groupe a poursuivi son pèlerinage en se dirigeant chez les Ursulines du Vieux Monastère. Après un moment de prière au tombeau de Marie de l'Incarnation dont c'était la fête le 30 avril, soeur Gabrielle Noël, directrice du Centre Marie de l'Incarnation, leur a fait faire le tour du monastère.
Les séminaristes sont revenus au Séminaire où le Supérieur général les a reçus pour le repas du midi. L'équipe d'animation du Grand Séminaire de Québec est venue les saluer et les inviter à une rencontre avec les séminaristes du Grand Séminaire de Québec au cours de l'automne prochain. Avant de quitter, le groupe s'est retrouvé pour la célébration de l'Office du milieu du jour et un temps d'échange sur ce pèlerinage au sources de la foi en Nouvelle-France.
Après 46 ans dans cette maison sur le boulevard Masson à Québec, les Auxiliaires franciscaines la cèdent au Grand séminaire Redemptoris Mater, un grand séminaire international missionnaire relié au Chemin néocatéchuménal Photo Mylène Tremblay
Voici un article de QUÉBEC HEBDO par Luc Fournier qui présente la nouvelle résidence des séminaristes du Grand Séminaire "Redemptoris Mater" de Québec
Suivre le chemin néo-catéchuménal aux Saules
Article mis en ligne le 24 avril 2009 à 13:48
Le mouvement catholique appelé néo-catéchuménat (ou Chemin néo-catéchuménal), s’installe dans le quartier Les Saules. Il s’agit d’un mouvement connaissant une des plus fortes croissances de l’Église catholique. Il est principalement ancré en Italie et en Espagne, ainsi qu’en Amérique latine… et bientôt sur le boulevard Masson.
Ils s’installeront dès la fin août dans le domaine centenaire actuellement occupé par les auxiliaires franciscaines, situé entre les boulevards Père-Lelièvre et Wilfrid-Hamel. Il s’agira d’un endroit d’enseignement pour les futurs prêtres missionnaires.
Et c’est là une différence de ce mouvement avec celui qu’on connait mieux au Québec : les prêtres ordonnés pourront non seulement pratiquer dans le diocèse de Québec, mais aussi à travers le monde, comme missionnaires.
À la Fabrique des Saules, on se questionne, toutefois. «Notre curé a trouvé bizarre de ne pas avoir de nouvelles», a indiqué son président Claude Auger, qui se demande ainsi ce qu’on attend d’eux, du point de vue de l’intégration. On est aussi conscient que le néo-catéchuménat est une branche plutôt traditionaliste du catholicisme.
Ce mouvement relativement nouveau (1964), tantôt critiqué pour son endoctrinement, d’autres fois salué pour son apport à la relève ecclésiastique, semble bien accueilli, au diocèse de Québec. On indique d’ailleurs que le séminaire international a reçu l’aval du Cardinal Ouellet et a été reconnu par le Pape Jean-Paul II. Le séminaire est un processus pour que des gens non catholicisés joignent l’Église ou pour que ceux qui veulent approfondir leur foi en aient l’occasion.
L’Abbé Benoît Boily, responsable de ce séminaire, est conscient que le mouvement est parfois critiqué. «On passe pour conservateur, mais c’est seulement qu’on prend l’évangile au sérieux.» Celui-ci indique d’ailleurs que le cheminement ressemble à celui du Séminaire de Québec : les séminaristes font trois ans de théologie, pour ensuite faire deux à trois ans de stage.
Déjà quelques-uns de ces séminaristes, principalement de jeunes adultes, sont arrivés à Québec pour apprendre la langue et en apprendre un peu sur notre culture, avant le début de leur séminaire. Ceux-ci proviennent des quatre coins de la planète, de France, d’Espagne, d’Italie, de l’Équateur, du Honduras, de l’Afrique centrale et de la Bolivie.
Suivre le chemin néo-catéchuménal aux Saules
Article mis en ligne le 24 avril 2009 à 13:48
Le mouvement catholique appelé néo-catéchuménat (ou Chemin néo-catéchuménal), s’installe dans le quartier Les Saules. Il s’agit d’un mouvement connaissant une des plus fortes croissances de l’Église catholique. Il est principalement ancré en Italie et en Espagne, ainsi qu’en Amérique latine… et bientôt sur le boulevard Masson.
Ils s’installeront dès la fin août dans le domaine centenaire actuellement occupé par les auxiliaires franciscaines, situé entre les boulevards Père-Lelièvre et Wilfrid-Hamel. Il s’agira d’un endroit d’enseignement pour les futurs prêtres missionnaires.
Et c’est là une différence de ce mouvement avec celui qu’on connait mieux au Québec : les prêtres ordonnés pourront non seulement pratiquer dans le diocèse de Québec, mais aussi à travers le monde, comme missionnaires.
À la Fabrique des Saules, on se questionne, toutefois. «Notre curé a trouvé bizarre de ne pas avoir de nouvelles», a indiqué son président Claude Auger, qui se demande ainsi ce qu’on attend d’eux, du point de vue de l’intégration. On est aussi conscient que le néo-catéchuménat est une branche plutôt traditionaliste du catholicisme.
Ce mouvement relativement nouveau (1964), tantôt critiqué pour son endoctrinement, d’autres fois salué pour son apport à la relève ecclésiastique, semble bien accueilli, au diocèse de Québec. On indique d’ailleurs que le séminaire international a reçu l’aval du Cardinal Ouellet et a été reconnu par le Pape Jean-Paul II. Le séminaire est un processus pour que des gens non catholicisés joignent l’Église ou pour que ceux qui veulent approfondir leur foi en aient l’occasion.
L’Abbé Benoît Boily, responsable de ce séminaire, est conscient que le mouvement est parfois critiqué. «On passe pour conservateur, mais c’est seulement qu’on prend l’évangile au sérieux.» Celui-ci indique d’ailleurs que le cheminement ressemble à celui du Séminaire de Québec : les séminaristes font trois ans de théologie, pour ensuite faire deux à trois ans de stage.
Déjà quelques-uns de ces séminaristes, principalement de jeunes adultes, sont arrivés à Québec pour apprendre la langue et en apprendre un peu sur notre culture, avant le début de leur séminaire. Ceux-ci proviennent des quatre coins de la planète, de France, d’Espagne, d’Italie, de l’Équateur, du Honduras, de l’Afrique centrale et de la Bolivie.