Pochette du CD de Denis Veilleux
Le drame musical Jésus le Messie de l'auteur-compositeur l'abbé Denis Veilleux, mis en scène par Ghislain Turcotte, était présenté à la salle Dina Bélanger du Collège Jésus-Marie de Sillery, samedi le 17 mars dernier. Jésus le Messie est un spectacle jeune, moderne, dynamique,
et riche à tous les points de vue. Il est à la fois témoignage de la vie du Nazaréen, danse moderne sensible, chant émouvant, tableau vivant et parabole.
Cette oeuvre dramatique est un heureux et courageux travail d'expression artistique, pour aujourd'hui, illustrant le paradoxe chrétien dans l'histoire de l'humanité. Elle est l'expression contemporaine du drame de l'amour bafoué qui renaît d'un espoir nouveau et invincible.
Une trame qui se laisse deviner, une chorégraphie significative, des chants modernes et étonnamment émouvants, une musique complice et des effets visuels intrigants.
Voilà de quoi faire vivre une diversité d'émotions. Cette oeuvre est une expérience autant pour les sens que pour la quête de sens questionnant le phénomène Jésus.
Bravo! à l'auteur, au metteur en scène et aux jeunes et talentueux artistes.
Jean-François Pelletier
président des séminaristes
Grand Séminaire de Québec
________________________________________________________________________
Notes de Jean-Pascal Lavoie dans Québec-Hebdo du 10 mars 2007
Le drame musical «Jésus le Messie» lancé par l'auteur-compositeur l'abbé Denis Veilleux, directeur de Radio-Galilée a été présenté Dina-Bélanger les 17 et 18 mars. D'œuvre essentiellement musicale, «Jésus le Messie» prend une forme à travers la danse et la mise en scène de Ghislain Turcotte. C'est à Ghislain Turcotte, metteur en scène à la feuille de route bien garnie, qu'est revenu la lourde responsabilité de traduire en gestes et en lumière cette œuvre musicale qui raconte la dernière montée de Jésus à Jérusalem.
«Lorsque Denis Veilleux m'a demandé de faire la mise en scène, je me suis questionné sur la lecture que l'on peut faire d'une telle histoire», explique celui qui a œuvré sur plusieurs continents. Il a repoussé d'emblée la reconstitution historique pour s'attarder à la façon dont on reçoit cette histoire aujourd'hui. «Nous captons peut-être ce message comme un écho du passé, qui a traversé les âges et qui nous parvient usé par le temps. Un peu comme un casse-tête auquel il manque quelques pièces.» «Je voulais sortir de l'imagerie classique de la Passion, précise le metteur en scène. Je privilégie une lecture très contemporaine, mais dans le respect de ce qui s'est passé.»
À l'instar de ce qui se fait en danse contemporaine, Ghislain Turcotte travaille beaucoup avec le temps et l'espace. C'est pourquoi son choix s'est arrêté sur des danseurs et des chanteurs plutôt que des acteurs pour composer la distribution.
Cette oeuvre dramatique est un heureux et courageux travail d'expression artistique, pour aujourd'hui, illustrant le paradoxe chrétien dans l'histoire de l'humanité. Elle est l'expression contemporaine du drame de l'amour bafoué qui renaît d'un espoir nouveau et invincible.
Une trame qui se laisse deviner, une chorégraphie significative, des chants modernes et étonnamment émouvants, une musique complice et des effets visuels intrigants.
Voilà de quoi faire vivre une diversité d'émotions. Cette oeuvre est une expérience autant pour les sens que pour la quête de sens questionnant le phénomène Jésus.
Bravo! à l'auteur, au metteur en scène et aux jeunes et talentueux artistes.
Jean-François Pelletier
président des séminaristes
Grand Séminaire de Québec
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Notes de Jean-Pascal Lavoie dans Québec-Hebdo du 10 mars 2007
Le drame musical «Jésus le Messie» lancé par l'auteur-compositeur l'abbé Denis Veilleux, directeur de Radio-Galilée a été présenté Dina-Bélanger les 17 et 18 mars. D'œuvre essentiellement musicale, «Jésus le Messie» prend une forme à travers la danse et la mise en scène de Ghislain Turcotte. C'est à Ghislain Turcotte, metteur en scène à la feuille de route bien garnie, qu'est revenu la lourde responsabilité de traduire en gestes et en lumière cette œuvre musicale qui raconte la dernière montée de Jésus à Jérusalem.
«Lorsque Denis Veilleux m'a demandé de faire la mise en scène, je me suis questionné sur la lecture que l'on peut faire d'une telle histoire», explique celui qui a œuvré sur plusieurs continents. Il a repoussé d'emblée la reconstitution historique pour s'attarder à la façon dont on reçoit cette histoire aujourd'hui. «Nous captons peut-être ce message comme un écho du passé, qui a traversé les âges et qui nous parvient usé par le temps. Un peu comme un casse-tête auquel il manque quelques pièces.» «Je voulais sortir de l'imagerie classique de la Passion, précise le metteur en scène. Je privilégie une lecture très contemporaine, mais dans le respect de ce qui s'est passé.»
À l'instar de ce qui se fait en danse contemporaine, Ghislain Turcotte travaille beaucoup avec le temps et l'espace. C'est pourquoi son choix s'est arrêté sur des danseurs et des chanteurs plutôt que des acteurs pour composer la distribution.