Photo de Pierre Labranche, l'un des nouveaux séminaristes du chemin Néocatéchuménal à la Basilique-cathédrale de Québec le 19 avril 2009
Il s'agissait du lancement officiel d'un Grand Séminaire 'Redemptoris Mater' à Québec. Voir le site internet de celui de Namur. Mgr Lalonde en est le recteur assisté d'un prêtre italien et de l'abbé Benoït Boily. Le Grand Séminaire est situé dans la paroisse Ste-Monique-des-Saules sur le boulevard Masson. Un québécois, Pierre Labranche, 46 ans, déjà diacre fait partie du groupe initial. Il sera ordonné prêtre le 23 mai 2009 par le cardinal Ouellet. Les autres séminaristes sont Alex, 21ans et Matteo, 22 ans, de l'Italie; Frankie, 22 ans, de l'Équateur; Łukaas, 25 ans de Pologne; Laurent, 33 ans, de France; Ricardo, 19 ans du Honduras et Victor, 28 ans de l'Espagne. Ces neuf séminaristes apprennent acutellement le français. À partir de septembre, ils suivront les cours de théologie à la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l'Université Laval. À strictement parler, les séminaires 'Redemptoris Mater' sont des séminaires diocésains sous l'autorité de l'évêque du diocèse comme l'explique cet extrait de la présentation de celui de Namur en Belgique:
Les séminaires ‘‘Redemptoris Mater’’ ne sont pas des séminaires du Chemin Néocatéchuménal, mais conformément à leurs statuts et à leur règle de vie, ils sont de véritables séminaires diocésains, qui dépendent de l’Évêque. Les élèves de ce collège reçoivent la même formation théologique que dans les autres séminaires du diocèse. Ils effectuent une année de pastorale en paroisse en tant que diacres et deux ans dans le diocèse en tant que prêtres, avant que l’Évêque puisse les envoyer en mission. Mais si l’Évêque a des urgences dans son diocèse, par exemple une zone particulièrement difficile, il peut disposer de ces prêtres, étant donné qu’ils ont été ordonnés sans condition.
Une caractéristique de ces séminaires ‘‘Redemptoris Mater’’, c’est l’internationalité qui rend visible concrètement la nouvelle réalité annoncée par le Christianisme, où il n’y a plus ni juifs, ni grecs, ni blancs, ni noirs, mais une nouvelle création, un homme céleste. Cela montre la nature même de ces séminaires qui préparent les évangélisateurs pour le monde entier, disposés à aller jusqu’aux ultimes confins de la terre. L’expérience a montré que la jonction de la formation sacerdotale avec un itinéraire d’initiation à la vie chrétienne, tel qu’il s’effectue dans le chemin Néocatéchuménal, constitue une grande aide pour la maturation psychologique, affective et humaine des candidats au sacerdoce (avant d’être des prêtres, ils sont des chrétiens, et dans le chemin de la foi ils apprennent la communion, l’obéissance, la prière, le sens de la Croix, etc..). Mais surtout, cela permet de les unir à la mission de la paroisse puisque le chemin Néocatéchuménal n’est rien d’autre qu’un temps de formation qui s’achève dans la paroisse avec des communautés vivantes, adultes et missionnaires, unies au curé et à l’Évêque.
Les séminaires ‘‘Redemptoris Mater’’ ne sont pas des séminaires du Chemin Néocatéchuménal, mais conformément à leurs statuts et à leur règle de vie, ils sont de véritables séminaires diocésains, qui dépendent de l’Évêque. Les élèves de ce collège reçoivent la même formation théologique que dans les autres séminaires du diocèse. Ils effectuent une année de pastorale en paroisse en tant que diacres et deux ans dans le diocèse en tant que prêtres, avant que l’Évêque puisse les envoyer en mission. Mais si l’Évêque a des urgences dans son diocèse, par exemple une zone particulièrement difficile, il peut disposer de ces prêtres, étant donné qu’ils ont été ordonnés sans condition.
Une caractéristique de ces séminaires ‘‘Redemptoris Mater’’, c’est l’internationalité qui rend visible concrètement la nouvelle réalité annoncée par le Christianisme, où il n’y a plus ni juifs, ni grecs, ni blancs, ni noirs, mais une nouvelle création, un homme céleste. Cela montre la nature même de ces séminaires qui préparent les évangélisateurs pour le monde entier, disposés à aller jusqu’aux ultimes confins de la terre. L’expérience a montré que la jonction de la formation sacerdotale avec un itinéraire d’initiation à la vie chrétienne, tel qu’il s’effectue dans le chemin Néocatéchuménal, constitue une grande aide pour la maturation psychologique, affective et humaine des candidats au sacerdoce (avant d’être des prêtres, ils sont des chrétiens, et dans le chemin de la foi ils apprennent la communion, l’obéissance, la prière, le sens de la Croix, etc..). Mais surtout, cela permet de les unir à la mission de la paroisse puisque le chemin Néocatéchuménal n’est rien d’autre qu’un temps de formation qui s’achève dans la paroisse avec des communautés vivantes, adultes et missionnaires, unies au curé et à l’Évêque.
Présentation de chacun des nouveaux séminaristes