Éric Montambault, séminariste-stagiaire avec des parents
Les jeunes séminaristes au nombre de 22 ont participé au service de l'autel avec un aplomb remarquable sous la direction de l'abbé Jimmy Rodrigue, animateur et Éric Montambault, séminariste-stagiaire. Les enfants de leurs familles garnissaient le tour de l'autel. La célébration réunissait autour du cardinal Ouellet, vingt prêtres dont Mgr Gilles Lemay, évêque auxiliaire de Québec et répondant du Petit Séminaire diocésain auprès de Mgr l'Archevêque, Mgr Hermann Giguère P.H., supérieur général du Séminaire de Québec, une société de prêtres diocésains consacrée à la formation des futurs prêtres qui fut à l'origine du premier Petit Séminaire en 1668 et à qui le cardinal Ouellet a confié l'animation et l'administration du nouveau Petit Séminaire diocésain, monsieur l'abbé André Gagné, membre agrégé de la communauté des prêtres du Séminaire de Québec, nouveau recteur du Petit Séminaire diocésain, monsieur l'abbé Denis Bélanger, membre agrégé de la communauté des prêtres du Séminaire de Québec, vicaire épiscopal de la Rive-Nord et monsieur l'abbé Mario Côté, membre auxiliaire de la communauté des prêtres du Séminaire de Québec, recteur du Grand Séminaire, oeuvre première et principale du Séminaire de Québec.
La soirée commença par une intervention du recteur du Petit Séminaire diocésain, monsieur l'abbé André Gagné, qui remercia de façon particulière les parents et les familles des jeunes séminaristes. La famille est le milieu naturel où naissent et se développent les vocations sacerdotales. C'est pourquoi, le nouveau Petit Séminaire diocésain, a-t-il annoncé sera sous la protection de la Sainte Famille. Il a par la suite remercié les Père maristes pour leur accueil ainsi que le directeur-général du Collège de Champigny, monsieur André La Perle, qui a rendu possible l'admission des élèves du Petit Séminaire à son collège dans des délais restreints. Le recteur a aussi remercié les Filles d'Isabelle de leur implication pour leur soutien du Petit Séminaire dans l'avenir.
Mgr Hermann Giguère, supérieur général du Séminaire de Québec, auquel est rattaché le Petit Séminaire diocésain raconta un moment fort aux origines du projet : la visite que le cardinal Ouellet lui fit en août 2007 où il lui faisait part de son intention d'avoir un Petit Séminaire diocésain dans le diocèse et où il lui demandait de "refonder" le Petit Séminaire que les prêtres du Séminaire ont laissé à une corporation privée distincte du Séminaire de Québec en 1987. Il rappela que cette demande le remettair dans le contexte de la première fondation du Petit Séminaire par Mgr de Laval en 1668 où celui-ci recevait en résidence dans la Maison de Mme Couillard sept jeunes français et six jeunes hurons qui y recevait leur formation et qui faisaient leurs classes au Collège des Jésuites situé où est l'Hôtel de Ville de Québec actuellement. Pour Mgr Giguère, le nouveau Petit Séminaire diocésain est une oeuvre de foi et d'audace, une semence pour laquelle il faut rendre grâces au Seigneur et à ceux et celles qui l'ont soutenu dès les débuts.
Le Père Yvan Carré, supérieur provincial des Pères Maristes a rappelé que la journée choisie pour cette inauguration officielle, le 8 septembre, est une fête chère aux Maristes qui ont pour la Vierge Marie un attachement particulier. Une autre raison, ajouta-t-il, pour laquelle cette soirée rend la communauté des plus heureuses, c'est que, pour les Pères Maristes, la collaboration avec l'évêque diocésain est au coeur de leur mission. Et comment, ne pas s'en réjouir si cette collaboration s'exerce auprès des jeunes pour lesquels les Pères Maristes sont venus au Québec et y ont fondé le Séminaire des Pères Maristes à Sillery en 1929.
La soirée commença par une intervention du recteur du Petit Séminaire diocésain, monsieur l'abbé André Gagné, qui remercia de façon particulière les parents et les familles des jeunes séminaristes. La famille est le milieu naturel où naissent et se développent les vocations sacerdotales. C'est pourquoi, le nouveau Petit Séminaire diocésain, a-t-il annoncé sera sous la protection de la Sainte Famille. Il a par la suite remercié les Père maristes pour leur accueil ainsi que le directeur-général du Collège de Champigny, monsieur André La Perle, qui a rendu possible l'admission des élèves du Petit Séminaire à son collège dans des délais restreints. Le recteur a aussi remercié les Filles d'Isabelle de leur implication pour leur soutien du Petit Séminaire dans l'avenir.
Mgr Hermann Giguère, supérieur général du Séminaire de Québec, auquel est rattaché le Petit Séminaire diocésain raconta un moment fort aux origines du projet : la visite que le cardinal Ouellet lui fit en août 2007 où il lui faisait part de son intention d'avoir un Petit Séminaire diocésain dans le diocèse et où il lui demandait de "refonder" le Petit Séminaire que les prêtres du Séminaire ont laissé à une corporation privée distincte du Séminaire de Québec en 1987. Il rappela que cette demande le remettair dans le contexte de la première fondation du Petit Séminaire par Mgr de Laval en 1668 où celui-ci recevait en résidence dans la Maison de Mme Couillard sept jeunes français et six jeunes hurons qui y recevait leur formation et qui faisaient leurs classes au Collège des Jésuites situé où est l'Hôtel de Ville de Québec actuellement. Pour Mgr Giguère, le nouveau Petit Séminaire diocésain est une oeuvre de foi et d'audace, une semence pour laquelle il faut rendre grâces au Seigneur et à ceux et celles qui l'ont soutenu dès les débuts.
Le Père Yvan Carré, supérieur provincial des Pères Maristes a rappelé que la journée choisie pour cette inauguration officielle, le 8 septembre, est une fête chère aux Maristes qui ont pour la Vierge Marie un attachement particulier. Une autre raison, ajouta-t-il, pour laquelle cette soirée rend la communauté des plus heureuses, c'est que, pour les Pères Maristes, la collaboration avec l'évêque diocésain est au coeur de leur mission. Et comment, ne pas s'en réjouir si cette collaboration s'exerce auprès des jeunes pour lesquels les Pères Maristes sont venus au Québec et y ont fondé le Séminaire des Pères Maristes à Sillery en 1929.
Mgr Gilles Lemay, évêque auxiliaire à Québec et répondant du PSDQ avec des parents
À la suite de ces interventions, une concélébration eucharistique joyeuse et festive prit place. Au cours de celle-ci, le cardinal Ouellet procéda à la bénédiction du Petit Séminaire diocésain après l'homélie. Après les litanies des saints, toute l'assemblée se recueillit dans cette prière prononcée par Mgr Ouellte:
Tu es béni, Seigneur, Dieu tout-puissant,
toi dont la sagesse a créé l'univers,
toi qui as doté l'homme d'intelligence
pour qu'il puisse connaître la vérité;
nous te prions en inaugurant ce petit séminaire:
qu'il soit voué à l'éducation des jeunes,
qu'il soit un foyer d'amour mutuel,
d'activité assidue, de service fraternel
qu'il soit une soutien précieux pour les études,
qu'il soit un lieu où les éducateurs comme les jeunes,
s'inistruiront de ta parole de vérité
se nourriront de la Sainte Eucharistie
et s'appliqueront à faire de la foi chrétienne
la règle de leur vie en se mettant de tout leur coeur
à l'école du seul maître, le Christ,
avec le désir ardent de faire sa volonté
aujourd'hui et pour demain.
Lui qui règne avec toi pour les si`ces des sièclesé
Amen
Tu es béni, Seigneur, Dieu tout-puissant,
toi dont la sagesse a créé l'univers,
toi qui as doté l'homme d'intelligence
pour qu'il puisse connaître la vérité;
nous te prions en inaugurant ce petit séminaire:
qu'il soit voué à l'éducation des jeunes,
qu'il soit un foyer d'amour mutuel,
d'activité assidue, de service fraternel
qu'il soit une soutien précieux pour les études,
qu'il soit un lieu où les éducateurs comme les jeunes,
s'inistruiront de ta parole de vérité
se nourriront de la Sainte Eucharistie
et s'appliqueront à faire de la foi chrétienne
la règle de leur vie en se mettant de tout leur coeur
à l'école du seul maître, le Christ,
avec le désir ardent de faire sa volonté
aujourd'hui et pour demain.
Lui qui règne avec toi pour les si`ces des sièclesé
Amen
Le cardinal Ouellet et la secrétaire-exécutive du Petit Séminaire diocésain de Québec
Dans son homélie, le cardinal Ouellet a rappelé l'audace de Mgr de Laval en 1668 qui établit les bases de l'Église en Nouvelle-France et dont nous sommes les héritiers. C'est dans le même esprit qu'il a décidé cette fondation d'un nouveau Petit Séminaire diocésain. L'Église d'ici ne peut se résoudre à disparaître. Au contraire, son apport des des plus nécessaires aujourd'hui à tous les plans. Pour ce faire, il faut non seulement penser à la relève sacerdotale, mais aller plus loin et tenter de nouvelles approches comme celle de ce Petit Séminaire. Des jeunes, a-t-il raconté, du mouvement des Brebis de Jésus pensait au sacerdoce et leur fondatrice, soeur Jocelyne Huot, après lui en avoir fait part, lui demandait comment faire pour les encourager. C'est à la suite de cette rencontre que qu'est parti le projet du Petit Séminaire diocésain et que je l'ai non seulement soutenu, mais piloté directement en en faisant un projet de l'Église diocésaine de Québec, continue-t-il. Ce soir est un moment d'intense action de grâces et donne l'occasion de voir que l'Église chez nous est bien vivante et qu'elle a l'intention de continuer à sa mission au service de la société tout entière et d'annoncer avec audace la Bonne Nouvelle de l'Évangile dans tous les milieux.
On peut lire le dossier du journal "Le Soleil" à la fin de cet article ou en cliquant ici
Voir la galerie de photos de l'inauguration officielle et de la bénédiction du Petit Séminaire diocésain de Québec. Cliquer ici
Voir la galerie de photos de l'inauguration officielle et de la bénédiction du Petit Séminaire diocésain de Québec. Cliquer ici
Jeune séminariste avec sa petite soeur
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Le Petit Séminaire de Québec renaît
Le mardi 09 septembre 2008
Claude Vaillancourt
Journal "Le Soleil" Québec
«J’ai pris l’initiative de relancer le Petit Séminaire de Québec, a déclaré au Soleil le cardinal Ouellet. À long terme, mon objectif est de préparer la relève sacerdotale car on manque de main-d’œuvre dans ce domaine.»
Interrogé sur le sort de l’établissement fondé en 1668 par Mgr François de Laval, le premier évêque de la Nouvelle-France, le chef de l’Église canadienne se montre direct : «Ce que l’on appelle encore le Petit Séminaire de Québec (dans le Vieux-Québec) est une autre école qui ne correspond pas à une préparation sacerdotale. Dans un futur prochain, le Petit Séminaire de Québec devra prendre le nom de Collège François-de-Laval.»
Jusqu’en 1985, le Petit Séminaire de Québec était administré par la Corporation du Séminaire de Québec, aussi responsable d’administrer les autres œuvres découlant du patrimoine de Monseigneur de Laval et du diocèse de Québec, dont le Grand Séminaire de Québec. Depuis, c’est une corporation privée sans but lucratif qui gère les destinées de l’établissement scolaire où se côtoient filles et garçons.
Le nouveau Petit Séminaire diocésain de Québec, officialisé lundi soir par une messe célébrée dans la chapelle de l’établissement, accueille cet automne 22 pensionnaires, dont la moitié sont en première secondaire. Ils logent tous dans l’immeuble qui appartient à la communauté des Pères maristes, au 4947, rue Clément-Lockquell, dans ce qui fut jadis le Campus intercommunautaire de Cap-Rouge, à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Le jour, les 22 élèves — tous des garçons évidemment — étudient au Collège de Champigny, «une école mixte», précise le cardinal, mais le reste du temps, sauf les fins de semaine, ils logent dans l’imposant édifice blanc du campus. «Mais les conditions ont changé avec les séminaires de jadis. Il n’y a pas de dortoir», raconte le recteur de l’institution, l’abbé André Gagné. «Chaque étudiant a sa chambre individuelle. On célébrera la messe, deux fois par semaine seulement, les mardis et les jeudis.»
Selon lui, la renaissance du Petit Séminaire, si chère au cardinal Ouellet, rappelle fortement les circonstances qui ont prévalu à la fondation du premier Petit Séminaire de Québec, il y a 340 ans, quand Mgr de Laval a ouvert, à ses frais, un pensionnat pour les élèves qui étudiaient au Collège des Jésuites et qui désiraient entrer, plus tard, au Grand Séminaire de Québec pour y devenir prêtres.
Financement
«Le cardinal participe lui-même au financement de notre séminaire», spécifie l’abbé Gagné, ce que ne nie évidemment pas le prélat de l’Église canadienne. «Je me suis investi de cette mission et nous apporterons ce qui est nécessaire», a confirmé le cardinal, sans pour autant dévoiler l’ampleur de sa contribution.
D’après le recteur, chaque élève représente un coût de 24 000 $ pour l’institution qu’il dirige. «Nous demandons environ 3500 $ aux parents pour la nourriture et le logement. Le reste est à nos frais.»
Le cardinal Ouellet spécifie que la renaissance du Petit Séminaire s’inscrit dans les célébrations de l’année Mgr de Laval, engagées le 8 décembre 2007. «L’année 2008 marque le 350e anniversaire de son ordination, le 300e anniversaire de sa mort et le 340e anniversaire de la fondation du premier séminaire à Québec.»
Mais au-delà de ces chiffres, l’archevêque de Québec croit que 2008 est «une excellente année» pour l’Église de Québec.
«Nous ressentons encore les retombées du Congrès eucharistique de juin. L’un des grands fruits de ce congrès a été de faire passer de quatre à neuf le nombre de postulants au Grand Séminaire.»
En ce qui concerne le Petit Séminaire, il attribue beaucoup sa renaissance au développement du Mouvement des Brebis de Jésus, une organisation fondée à Sainte-Pétronille, le 28 avril 1985, par sœur Jocelyne Huot, une religieuse de Saint-François d’Assise. Cette dernière l’accompagnera à Rome, du 5 au 26 octobre, pour un synode sur la foi devant réunir quelque 250 évêques et une trentaine d’experts.
«Un sondage mené dans le mouvement nous a appris que beaucoup d’adolescents pensaient au sacerdoce et que les parents voulaient s’engager à les diriger dans cette voie, raconte Mgr Ouellet. Je crois que la renaissance du Petit Séminaire s’avère un excellent moyen pour les faire évoluer dans cette direction.»
Le Petit Séminaire de Québec renaît
Le mardi 09 septembre 2008
Claude Vaillancourt
Journal "Le Soleil" Québec
«J’ai pris l’initiative de relancer le Petit Séminaire de Québec, a déclaré au Soleil le cardinal Ouellet. À long terme, mon objectif est de préparer la relève sacerdotale car on manque de main-d’œuvre dans ce domaine.»
Interrogé sur le sort de l’établissement fondé en 1668 par Mgr François de Laval, le premier évêque de la Nouvelle-France, le chef de l’Église canadienne se montre direct : «Ce que l’on appelle encore le Petit Séminaire de Québec (dans le Vieux-Québec) est une autre école qui ne correspond pas à une préparation sacerdotale. Dans un futur prochain, le Petit Séminaire de Québec devra prendre le nom de Collège François-de-Laval.»
Jusqu’en 1985, le Petit Séminaire de Québec était administré par la Corporation du Séminaire de Québec, aussi responsable d’administrer les autres œuvres découlant du patrimoine de Monseigneur de Laval et du diocèse de Québec, dont le Grand Séminaire de Québec. Depuis, c’est une corporation privée sans but lucratif qui gère les destinées de l’établissement scolaire où se côtoient filles et garçons.
Le nouveau Petit Séminaire diocésain de Québec, officialisé lundi soir par une messe célébrée dans la chapelle de l’établissement, accueille cet automne 22 pensionnaires, dont la moitié sont en première secondaire. Ils logent tous dans l’immeuble qui appartient à la communauté des Pères maristes, au 4947, rue Clément-Lockquell, dans ce qui fut jadis le Campus intercommunautaire de Cap-Rouge, à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Le jour, les 22 élèves — tous des garçons évidemment — étudient au Collège de Champigny, «une école mixte», précise le cardinal, mais le reste du temps, sauf les fins de semaine, ils logent dans l’imposant édifice blanc du campus. «Mais les conditions ont changé avec les séminaires de jadis. Il n’y a pas de dortoir», raconte le recteur de l’institution, l’abbé André Gagné. «Chaque étudiant a sa chambre individuelle. On célébrera la messe, deux fois par semaine seulement, les mardis et les jeudis.»
Selon lui, la renaissance du Petit Séminaire, si chère au cardinal Ouellet, rappelle fortement les circonstances qui ont prévalu à la fondation du premier Petit Séminaire de Québec, il y a 340 ans, quand Mgr de Laval a ouvert, à ses frais, un pensionnat pour les élèves qui étudiaient au Collège des Jésuites et qui désiraient entrer, plus tard, au Grand Séminaire de Québec pour y devenir prêtres.
Financement
«Le cardinal participe lui-même au financement de notre séminaire», spécifie l’abbé Gagné, ce que ne nie évidemment pas le prélat de l’Église canadienne. «Je me suis investi de cette mission et nous apporterons ce qui est nécessaire», a confirmé le cardinal, sans pour autant dévoiler l’ampleur de sa contribution.
D’après le recteur, chaque élève représente un coût de 24 000 $ pour l’institution qu’il dirige. «Nous demandons environ 3500 $ aux parents pour la nourriture et le logement. Le reste est à nos frais.»
Le cardinal Ouellet spécifie que la renaissance du Petit Séminaire s’inscrit dans les célébrations de l’année Mgr de Laval, engagées le 8 décembre 2007. «L’année 2008 marque le 350e anniversaire de son ordination, le 300e anniversaire de sa mort et le 340e anniversaire de la fondation du premier séminaire à Québec.»
Mais au-delà de ces chiffres, l’archevêque de Québec croit que 2008 est «une excellente année» pour l’Église de Québec.
«Nous ressentons encore les retombées du Congrès eucharistique de juin. L’un des grands fruits de ce congrès a été de faire passer de quatre à neuf le nombre de postulants au Grand Séminaire.»
En ce qui concerne le Petit Séminaire, il attribue beaucoup sa renaissance au développement du Mouvement des Brebis de Jésus, une organisation fondée à Sainte-Pétronille, le 28 avril 1985, par sœur Jocelyne Huot, une religieuse de Saint-François d’Assise. Cette dernière l’accompagnera à Rome, du 5 au 26 octobre, pour un synode sur la foi devant réunir quelque 250 évêques et une trentaine d’experts.
«Un sondage mené dans le mouvement nous a appris que beaucoup d’adolescents pensaient au sacerdoce et que les parents voulaient s’engager à les diriger dans cette voie, raconte Mgr Ouellet. Je crois que la renaissance du Petit Séminaire s’avère un excellent moyen pour les faire évoluer dans cette direction.»