Les conférenciers de la deuxième journée dont le cardinal Marc Ouellet, archevêque de Québec et ancien directeur de l'Institut Jean-Paul II
Voici le programme de cet évênement avec quelques commentaires sur les conférences du cardinal Ouellet (Québec) et celle du professeur Leb Vasile (Roumanie).
La première session en après-midi le 16 mars 2010 présidée par Monseigneur Jean Laffitte, secrétaire du Conseil pontifical pour la famille a traité de la communion des personnes comme source de dialogue entre Dieu et l'homme. On a abordé le thème de l'être humain comme image de Dieu, puis celui de la beauté de la rencontre entre homme et femme.
Le lendemain, 17 mars 2010, la seconde session en avant-midi s'est arrêté à la question du symbole anthropologique des noces ainsi que celui du "Sacrement des noces". "Le sacrement du mariage basé sur un amour exclusif et définitif, a-t-on noté, devient l'icône du rapport de Dieu avec son peuple et viceversa : la façon d'aimer Dieu devient la mesure de l'amour humain."
La troisième session en après-midi a débuté par l'Intervention du cardinal Ouellet sur la tâche de la famille, Église domestique, dans le troisième millénaire. Le cardinal Ouellet a souligné dans son exposé théologique que l'amour des époux est échange avec le Christ qui leur donne l'amour trinitaire. Ce don provoque une ouverture sur la communion dans la famille, sur l'apostolat et sur la société. Il résume par trois mots les principales tâches de la famille au seuil du troisième millénaire : unité, service et fécondité.
Le professeur Leb Vasile, de la Faculté théologique orthodoxe de Clug (Roumanie) aborda les défis de la famille pour le futur dans la société et dans le monde. Professeur d'histoire, monsieur Vasile, s'attache à une analyse concrète des défis qui attendent la famille et il met en évidence des statistiques sur la natalité qui font réfléchir. Après les avoir commentées brièvement, il replace la famille dans le contexte du mariage orthodoxe qui est vu comme une "anamnèse" continuelle qui en fait une action de grâces, une actuation et une prophétie qui espère l'accomplissement total toujours à venir. Il en vient par la suite aux points à surveiller pour affronter les défis actuels du mariage et de la famille en tenant compte de l'enfant et de l'activité des parents (père et mère). Il souligne, entre autres, 1) la nécessité d'un politique famillale de la part des états comme des allocations familiales etc.; 2) la reconnaissance du statut de la mère au foyer; 3) le soutien aux parents par des congés de paternité et de maternité; 4) l'importance de ne pas confondre politique familiale et politique sociale.
Retenons, en terminant ce bref compte-rendu, cette citation de Benoît XVI dans Deus caritas est : "L 'Esprit Saint est ausi une force qui transforme le coeur de la communauté ecclésiale afin qu'elle soit dans le monde témoin de l'amour du Père qui veut faire de toute l'humanité dans son Fils une unique famille." ( n. 19)
La première session en après-midi le 16 mars 2010 présidée par Monseigneur Jean Laffitte, secrétaire du Conseil pontifical pour la famille a traité de la communion des personnes comme source de dialogue entre Dieu et l'homme. On a abordé le thème de l'être humain comme image de Dieu, puis celui de la beauté de la rencontre entre homme et femme.
Le lendemain, 17 mars 2010, la seconde session en avant-midi s'est arrêté à la question du symbole anthropologique des noces ainsi que celui du "Sacrement des noces". "Le sacrement du mariage basé sur un amour exclusif et définitif, a-t-on noté, devient l'icône du rapport de Dieu avec son peuple et viceversa : la façon d'aimer Dieu devient la mesure de l'amour humain."
La troisième session en après-midi a débuté par l'Intervention du cardinal Ouellet sur la tâche de la famille, Église domestique, dans le troisième millénaire. Le cardinal Ouellet a souligné dans son exposé théologique que l'amour des époux est échange avec le Christ qui leur donne l'amour trinitaire. Ce don provoque une ouverture sur la communion dans la famille, sur l'apostolat et sur la société. Il résume par trois mots les principales tâches de la famille au seuil du troisième millénaire : unité, service et fécondité.
Le professeur Leb Vasile, de la Faculté théologique orthodoxe de Clug (Roumanie) aborda les défis de la famille pour le futur dans la société et dans le monde. Professeur d'histoire, monsieur Vasile, s'attache à une analyse concrète des défis qui attendent la famille et il met en évidence des statistiques sur la natalité qui font réfléchir. Après les avoir commentées brièvement, il replace la famille dans le contexte du mariage orthodoxe qui est vu comme une "anamnèse" continuelle qui en fait une action de grâces, une actuation et une prophétie qui espère l'accomplissement total toujours à venir. Il en vient par la suite aux points à surveiller pour affronter les défis actuels du mariage et de la famille en tenant compte de l'enfant et de l'activité des parents (père et mère). Il souligne, entre autres, 1) la nécessité d'un politique famillale de la part des états comme des allocations familiales etc.; 2) la reconnaissance du statut de la mère au foyer; 3) le soutien aux parents par des congés de paternité et de maternité; 4) l'importance de ne pas confondre politique familiale et politique sociale.
Retenons, en terminant ce bref compte-rendu, cette citation de Benoît XVI dans Deus caritas est : "L 'Esprit Saint est ausi une force qui transforme le coeur de la communauté ecclésiale afin qu'elle soit dans le monde témoin de l'amour du Père qui veut faire de toute l'humanité dans son Fils une unique famille." ( n. 19)